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Ecrire pour arreter le temps...

Ecrire pour arreter le temps...
28 avril 2012

Des mots libres, des maux, démolition...

plume2[1]Elle voudrait que je reprenne le flambeau. Que comme avant, je retrouve en moi la chaleur de mes mots, que je les expose sur de longues fumées de proses...La sève des maux que je porte, qui coule dans mes veines et que je déverse comme des notes étaient là mon trésor.Je ponctuais ma vie de points virgules;de mélancolie , d'histoires douces, ou banales, sans trop de ridicule. Il me semble pourtant loin ce temps... Souvent, je regarde cet écran et me dit "Noémie, il suffit juste de te mettre devant, de t'asseoir, de prendre ce temps, d'allonger tes doigts et de laisser évacuer tes pensées..."

Mais un peu par Ariane, le fil s'est coupé, la facilité s'est envolée, échaudée par les cendres des jours comptés. Le bois tendre , brûlant , sec qui prenait  vite sa flâmme  est devenu dur, humidifié et a perdu de sa saveur. Je sais qu'elles sont là les syntaxes , les rimes , mes amoures des phrases. Elles papillonnent autour de moi, comme des lucioles à la dérive. Ca crie, ca hurle mais elles ne sont pas plus fortes que moi et je n'y arrive toujours pas. Mes histoires ne sont plus naturelles , ces petites bêtes qui tournoient ont perdu leurs ailes. Peut être parce qu'elles s'envolaient avec elles dans un vague à l'âme proche de la déraison et qu'aujourd'hui elle y voit cette ancienne trame pleine de dépression.Alors je lutte, ne veux pas. C'était du passé tout ca. Je lis à la place , encore plus, réfléchit , me refuse. Il y a un temps pour tout certainement.

Parce qu'un commentaire a été laissé , elle me dit de continuer...de m'obliger pour libérer, il parait, ce que j'ai de fort en moi, et ce que je sais dévoiler. Parce que les "maux" ont toujours une consonance particulière dans tout ce que j'ai fais. Parce qu'elle s'en va lundi , que son coeur souffre aussi, je voulais tout simplement lui dire que dans ces quelques phrases, résident encore tout notre espoir...

"Non Sum Qualis Eram..."

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6 octobre 2011

Un an de fé....

2%20fees%20en%20volp[1]Une année d'absence...lui avait on souhaité un conte de fée? espérait on que d'une baguette, d'un doigt, elle y avait touché? que pouvait elle nous raconter??? une voie de faits.....

On dit des femmes qu'elles sont fées du logis..ca oui!! Son intérieur n'a pas beaucoup changé, elle l'a juste aménagé. Elle a coloré de phéromones fleuris ses pièces d'hivers, de premier printemps, de triste été. Elle a modifié son salon gris pour l'agayer, l'ouvrir à une assise plus espacée. Ivoire, gris, des tons plus légers. La pièce ne s'est pas aerée, elle accueille plus aisément les visiteurs d'un temps. C'est certainement dans le phénotype féminin de lustrer son quotidien.  Il faut toujours en faire, dans un gant de velours, une main de fer...A l'attaque,sans relâche. Trés loin de son "faith call home" , elle a soigné les fécalomes fétides,donné rendez vous à  ses patients l'attendant toujours très tôt chaque matinée, chaque après midi, le ventre tendu, tiré. Elle s'est formée, a supporté les saisons difficiles, les couloirs bouchés. Présente sans faute, malgré ses fébrilités..

Elle a pourtant rencontré, depuis un an également,  un doudou bien perché sur ses échassiers..grand chasseur de petit furêt, masseur de fessiers...Avec lui, des moments d'amour phénomenaux, des battements de coeur trépidents, avec des fêlures, et de jours impatients. Devenue avec lui, une férue d'échanges virtuels, dans l'espoir de reconquerir dans ses nombreuses nuits,  Morphée. Des larmes, des rires, des peurs, des rêves..une évidence dans le premier regard lancé. Un sourire en posant la trace de son sbire..Il l'a completement fait perdre la raison. Plus de clavier, plus d'image, plus de son.. Elle n'a vécu et ne vit que par son prénom. Oubliant l'espace temps, tombant dans un puit sans fond. Pourtant elle a découvert graduellement, la difficulté qu'une situation peut imposer. Car en ramassant ses cailloux tombés, elle a rejoint un chemin qui plus jeune lui avait été soufflé, et qu'elle a sans cesse voulu échapper. Le destin la rattrape sans fin.. Une trame de coincidence, d'enfance entourant chacun de ses lendemains. Mais le coeur à ses raisons que la raison ignore... Aupres de lui, elle avance encore, en corps à corps.

Elle a retrouvé aussi le visage féerique d'une jeune fille féline, coquine; par instants, fermé. Une âme qui ressemble à la sienne, qui goûte à son propre Eden.. Une princesse dans son jardin ouvert, parfois incertain.  Qui se cherche, qui se trouve dans son paradis, se perd dans ses enfers.. Elle porte à juste titre le prénom de ce rang..Une amie dont elle peut être fière...

Une année qui s'est construite simplement, sans frou-frous ni chi-chis. Sans fête ni défaite. Une continuité logique, riche de surprise, de remise en question. A l'allure d'un vent fort, d'une petite brise.

Après le "fe", il ya le "che"..et c'est devant cette cheminée qu'elle signe l'esquisse d'un retour fiévreux. Elle essuie d'un soupir ses tremblements, ses hésitations, son insastifaction. Jamais contente de toute facon!!! Mais soulagée de voir que si elle veut, elle peut et elle fait!!!!!

 

27 septembre 2011

A la bonheur...

296649_10150298126440954_11784025953_8040630_1186722450_n[1]On s'accorde bien souvent une place qui n'est pas la notre. On pense exister parce que l'autre existe, on pense être là parce qu'on le doit..Un matin, on se lève, et l'on comprend, sans raison particulière, que nous sommes une personne à part entière, et que nous existons pour nous même, et que nous devons suivre le chemin que nous avons choisi.

les espoirs, les rêves que l'on s'avouent viennent avant tout de notre propre coeur, et ils ne doivent pas etre le fruit des choix de nos pairs. On pense à tort que sans les autres, nous devenons ou restons poussières.. pourquoi être là si on ne me regarde pas?? pourquoi continuer si je ne peux être aimé?  On oublie de se regarder dans la glace, on oublie de s'assoeir et de voir que le temps passe...

C'est drôle, il me semble, il y a un an, que j'ai déjà ecris cela.. Une autre vie s'est pourtant déroulée depuis..une autre mais toujours la mienne... Un an de conflit interieur et d'amour brut...le vrai..fait de sacrifices, de bonté, d'acharnements, de precipices.. Un soulagement se fait, nous savons répondre à nos comment et pourquoi.. on se croise, on se mire dans les yeux de la personne choisie... et puis là aussi, on s'oublie... On croit être parce qu'il est, on croit penser juste parce que c'est lui qui le dit...et on oublie de dire "mais qui je suis?".

Son coeur bat dans le mien, il n'y a pas d'autres evidences aujourd'hui. Mais de nouveau, je sens le mien battre sans le sien...et ca fait un bien....

Etre femme, c'est pouvoir crier que seule, on peut y arriver...et je peux y arriver, vous pouvez y arriver...on peut toutes y arriver...

(c'etait un cri du coeur...)

 

17 octobre 2010

Juste pour rêver..

http://www.youtube.com/watch?v=EPng8o3zDqM&feature=related

Pendant cette chanson, admirez l'horizon. Prenez une tasse brulante d'une boisson douce et delicate, parfumée..avec un peu de chance, vous aurez ce rayon de soleil pour illuminer vos pensées..Regardez devant vous, plongez dans le fond de votre tout...Perdez le fil du temps, ne faites qu'ecouter et vous laissez aller..La mélodie vous envahit, et  qu'est ce que voyez? a quoi vous rêver? qu'elles sont vos pensées???

Moi elle m'appelle, elle m'inspire, je garderais ca caché..c'est à vous que j'ouvre cette idée..

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5 octobre 2010

"Miserere", Jean Christophe Grangé

Il précède la Forêt des Manes..un chant noir sous les cris de la douleur...

Synopsis : Un commandant Armenien, un flic drogué. Des meurtres à l'oreille "cassée". Une chorale désenchantée. Un groupe exilé. Il ya des enfants. Ils ont la pureté des diamants. Les plus parfaits. Aucune ombre. Aucune inclusion. Aucune faille. Mais leur pureté est celle du mal..

http://www.youtube.com/watch?v=yDRoL7ziDP4

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Un passage : "C'était une ennemie intime qui était morte. Pourtant, à la faveur de son absence, il avait découvert une autre vérité, une autre profondeur. Nariné existait en decà de sa conscience. Depuis longtemps, elle n'habitait plus sa vie de surface. Elle évoluait ailleurs. Là où il n'allait jamais. Dans les coulisses de sa propre vie. Là où tout se decide, se prépare, se murît. Un lieu qui coulait de source, qui allait de soi, sur lequel on ne s'attarde plus.. Alors il avait mesuré l'ampleur des dégats. Quand ses pas résonnaient dans son theâtre vide, il comprenait qu'il avait perdu la bataille. Définitivement. Non, Nariné ne vivait pas  grâce à son esprit, c'etait son esprit, à lui , qui était mort avec sa disparition, ayant perdu toute cohérence, toute raison d'être.."

Mon avis : Agrémentée du chant "Miserere" d'Allégri, cette lecture se révèle profonde, tragique, inspirée. Une cheminée, une lampe d'ambiance allumée, une musique qui retentit dans les entrailles de l'instantané, et les pages de cette histoire qui se tournent au rythme du temps instrumentalisé...Essayez, et vous me comprendrez..

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19 septembre 2010

"La foret des mânes", Jean Christophe Grangé.

8 eme roman de ce maître du polar francais. Il nous livre ici les profondeurs de l'abysse humaine, la noirceur de l'Homme, le diagnostic final du manque de civilisation...

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Synopsis : Jeanne korowa, magistrate, tente de retrouver seule un meurtrier sanguinaire, canibale, faisant terreur sur Paris..Elle va silloner l'Argentine, le monde tropical pour trouver la paix dans son propre corps mais surtout au sein de sa ville. Armée  que de ses propres experiences, de son rang, elle va aller au bout d'elle même, au bout de la demeusure. Durant son parcours, elle n'aura fait qu'une erreur.Elle cherchait le tueur dans la forêt. C'etait la forêt qui était dans le tueur. Comme l'enfant saucage au fond de l'homme...

Mon avis : Grange signe encore ses idées noires dans sa plus belle plume. On retrouve sa signature dans la trame de l'histoire..Des scenarios toujours nouveaux s'inserent encore et encore au fur et à mesure de l'histoire. Celle ci prend une proportion parfois difficile à suivre. Il m'est arrivé bien souvent de refermer le livre, de fermer les yeux,  et de me rememorer les details qui m'ont fait arriver jusqu'à cette page momentanément fermée..et me demander pourquoi?? et que puis je decouvrir, comprendre avant le personnage principal?? Refouiller les chapitres du livre, et reprendre le fil là où on l'avait arreté..Oui, nous sommes bien entrain de lire du J.C.Grangé et  ce sont des purs moments de delices,d'angoisses, d'adrenaline,  où il nous semble impossible de controler la tournure du papier blanc...D'ailleurs, je m'apprete à commencer Miserere..avant dernier livre de notre romancier.

A ne pas manquer!!

12 septembre 2010

"Rapt de nuit", Patricia Macdonald's

Conseils d'une sexagenaire bibliothecaire..alors on octroie facilement sa confiance, on se laisse guider par une émotion, un avis, un émoi... et voilà..:

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Synopsis : Tess a 9 ans lordque sa soeur ainée Phoebe est enlevée, violée, et etranglée.Sur son témoignage, le coupable est immédiatement arrêté, jugé puis exécuté. 20 ans plus tard, un test revele que son ADN n'est pas celui retrouvé sur celui de Phoebe. Traumatisée à l'idée d'avoir pu faire condamner un innocent, Tess décide de faire toute la lumière sur cette affaire. Au risque de revivre le cauchemar qui a boulversé sa vie et passer pour le suspect principal du meurtre de sa soeur..

Mon avis : Du Patricia Macdonald's..Une pointe de suspense, un décor planté, et on se laisse prendre au jeu de la devinette..Pas d'etonnement, pas de grande frayeur..un roman à suspens qui se laisse facilement et rapidement lire..un bon moment de détente neanmoins.

12 septembre 2010

"Quitter le monde", Douglas Kennedy

Parce que cela nous à tous traverser au moins une fois l'esprit...Mais que se cache t'il derriere ces 3 mots pour qu'ils nous reunissent tant et qu'ils restent incontestablement intemporaux???

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Synopsis : "Je ne me marierai jamais et je n'aurai jamais d'enfants". Lorsqu'elle prononce cet arrêt, Jane à 13 ans. Le lendemain matin, son pere aura fait ses valises. Hasard? Coincidence? la culpabilité ne s'embarasse pas de ces questions : toute sa vie Jane s'en mordra les doigts. De harvard à Boston , des belles lettres aux manipulations boursières , tout ce qu'elle touche se derobe, tout ce qu'elle aime aime lui echappe.Et lorsqu'enfin la vie lui fait un cadeau, c'est pour lui reprendre aussitôt. Alors Jane n'a qu'une obsession : fuir, n'importe où, hors du monde. Mais à vouloir le quitter, c'est lui qui vous rattrape..

Ma critique : Pour ceux qui pensent que la vie n'est qu'un destin tout tracé, alors ils seront ravient. Mélo drame à suspense. Morale devastatrice sur les essentiels de la vie. Fatalité, choix, hasard, punition...tels sont les adjectifs qui enrobent cette description d'une vie. De LA vie??? Que croire, comment se diriger, et avec qu'elles convictions?? poids d'une naissance, du passé..quels liens peut 'on tisser avec celui ci sans risquer de se perdre ou d'être rattrapé par un mauvais tissage.. voilà les questions que ce livre peut nous ammener à mettre sur notre  balance.

A LIRE ABSOLUMENT!!!!

22 août 2010

"Le voleur d'ombres", Marc Levy

On dit que si nous commencons à mentir, on ne s'est plus s'arreter..En 15 jours, deux livres à qui j'ai emporté leurs âmes portent l'intitulé 'voleur'..Je vous avez averti, et vous en avez la preuve...Mais comment ne pas enlever l'esprit de Marc Levy..???

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Synopsis :  "Et si l'enfant que vous étiez rencontrait l'adulte que vous êtes devenu.... "

En d'autres termes : Il prenait l'ombre de celle qui chevauchait la sienne.Il pouvait entendre le souffle de son coeur, les mots de sa tête. Il en a eu peur, il s'en ai servi..Pour le bien, pour aimer sa vie..Il a trouvé un sens à celle ci. A éclairé l'ebene des chemins qu'il ne connaissait pas et qui s'ouvrirait fatalement à lui.. Et l'ombre de lui même lui a souri...

Des passages : "C'est exactement cela , poursuivit l'ombre comme si elle avit lu dans mes pensées. Trouve pour chacun de ceux dont tu derobes l'ombre cette petite lumière qui eclairera leur vie, un morceau de leur mémoire cachée, c'est tout ce que nous te demandons."

"J'aime les rides qui se sont formées autour de sa bouche, et de ses yeux. Je sais qu'elle les deteste ; moi, elles me rassurent. C'est notre vie à tous les deux que je lis sur son visage. Ce n'est peut être pas mon enfance qui me manquait depuis mon retour ici,  mais ma mère, nos moments complices, nos samedis apres midi au supermarché, les repas que nous partagions le soir, parfois, dans le plus grand silence mais si proches l'un de l'autre, les nuits où elle venait me rejoindre dans ma chambre, s'allongeant à coté de moi, et glissait la main dans mes cheveux. Les années ne passent qu'en apparence. Les moments les plus simples sont ancrées en nous à jamais."

Je crois que c'est le plus doux et le plus fantastique de ses histoires fantastiques . En refermant la dernière page, j'ai regardé devant moi, le bouquin serré contre ma poitrine..un "olala" s'est expiré. Il n'y avait pas de soleil pour que je puisse voir mon ombre..Si tel avait été le cas, je crois qu'elle m'aurait dit qu'elle aurait aimé connaitre des ombres comme celles que j'avais emprunté le temps que je les lisais..

20 août 2010

"Pandore au Congo", Albert Sanchez Pinol

Pourtant sorti il ya 3 ans, ce roman à réouvert ses pages cet été..Un mot glissé sur celui ci lors d'un magasine télévisé, une annotation vite tracée pour ne pas l'oublier, et l'achat fut rapidement fait..pour des heures d'une profondeur indescriptible, inegalée.

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Synopsis : 1914. L'empire britannique est à son zénith et Londres s'apprete à subir les foudres du Kaiser. Thommy Thomson oeuvre dans l'ombre pour un plumitif mégalomane quand un avocat lui propose un marché insolite : écrire l'histoire de son client, Marcus Garvey, un gitan accusé d'avoir assassiné au Congo les flics du duc qu'il servait. Publié avant le procés, le récit concourt par son immense succes a sauver de la potence celui que tout accuse. Il met à jour le détail de l'expedition enragée de deux aristocrates qui s'enfoncent dans la jungle congolaise jusqu'aux confins du monde,aiguillonnés par la fièvre de l'or. Avec Marcus, ils vont mener la premiere guerre verticale de l'histoire contre une armée insolite surgie des entrailles de la terre. Par convoitise pour une de ces créatures, les hommes ouvrent la boite de pandore et les intenses tropiques débrident ceux qui ne savent plus tenir leur rang. Les sang-bleu se révèlent de fieffées canailles et un pauvre domestique s'érige en sauveur de l'humanité. Dans cette aventure qui semblait établir le triomphe de la justice des hommes, tout n'est que chimère; seule la fiction y gagne des lettres de noblesses.

Un passage : "Il y avait des arbres dont les troncs ressemblaient à des épines plus longues que des baionnettes. Il y avait des arbres avec une ecorce en fer et des arbres avec des rides en velours. Certains projetaient leurs racines sur le sentier, et empechaient le passage avec une barricade en bois pardessus laquelle il fallait  sauter ou qu'il fallait même escalader. Il ya avait les arbres assassins, qui autour de leurs congeneres de la même facon qu'un serpent. Dans de nombreuses sections de ce tunnel végétal, l'atmosphere était si dense, l'air si pauvre en oxygene, que les hommes s'asphyxiaient. C'étaient comme de respirer du gaz chaud. La colonne n'avait pas d'autre solution que d'avancer au trot et de retenir sa respiration, comme si les hommes s'etaient trouvés sous l'eau et avaient tenté de gagner la surface avant de se noyer. Et le bruit. Une sorte de vombrissement ininterrompou et en spirale auquel se superposaient des tons graves..."

Mes sensations: L'impression de se trouver au milieu d'Avatar.. Des paysages si détaillés, si profonds, si vivants qu'on à l'impression d'être personnellement au centre de cette beauté naturelle. Des personnages imaginaires qui nous font rêver, une histoire si abilement menée qu'elle nous laisse sur une fin completement insolite et chamboulante.  Un decor coloré, violent, gigantesque. Des moments de lecture à perdre haleine. Un style de roman que j'ai rarement eu l'occasion de dévorer. Une merveilleuse surprise qui m'a permis de lire, d'imaginer, et de pouvoir inconsciemment, mettre en image cette fabuleuse épopée grâce aux hommes bleus cinématographiés en 3D...

A lire s'il vous plait...!!!!  ;-)

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  • Parce qu'il est bon pour moi d'ecrire, parce qu'il est bon de me faire lire.. Comme il existe l'ancien et le nouveau testament, il ya l'hier, et le present. Mon ying dans l'avant, mon yang, ici présent... Malibertedemelaisser aura bon vent..
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